Accueil
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Pour rompre la monotonie d'une lecture linéaire, les murs de formes triangulaires aux dimensions variables densifient l'espace et rythment le chemin à suivre tout en permettant au visiteur de déambuler au sein de cette construction réalisée sur deux continents.
Ce contraste, entre la modernité inhérente aux éléments de mise en contexte et l'authenticité des tirages de la fin du XIXe siècle, permet à l'exposition d'offrir une mise en scène originale des photographies présentées.
De prime abord, le visiteur est sous le charme du modèle en plâtre, grandeur nature, de l'oreille de la statue trônant à l'entrée d'une salle aux tonalités orange et grise. Puis deux maquettes se succèdent, l'une montre les travaux d'agrandissement en plâtre du modèle primitif de la tête tandis que l'autre présente le montage de la tête en cuivre martelé, avant que le modèle en grandeur d'exécution de l'index en cuivre martelé ne semble le guider vers l'inauguration.
La sortie s'achève sur une image en miroir d'une des nombreuses répliques de la Statue de la Liberté, invitant le visiteur à poursuivre sa visite vers la Chapelle du Musée des arts et métiers où elle se dresse fièrement, couronnant le diorama devant les vitraux multicolores de la nef.

page précédentepages 1 - 2 - 3
 
A gauche, Marie-Sophie Corcy, commissaire de l'exposition, et à droite, Nathalie Vu Hong, scénographe et chef de projet.
© Musée des arts et métiers - F. Noyé